J'ai pas assez de cervelle pour crever demain.

Haro sur ma gueule.
J'ai jamais voulu faire de mal à personne pourtant - sourire condescendant je le sens bien, "c'est bien elle s'exprime un peu"-
Sauf que ça m'arrive une fois par an, et jamais quand il le faudrait.
Spa possible de vouloir être aimée comme ça, spa normal, spa grave... spa vrai. Je reprend tous mes rêves de conne dans la tronche. A vouloir rejeter les clichés des autres, je me suis perdue dans mes contradictions, mes réticences.
J'ai pas assez de cervelle pour me servir de mes mains.
J'ai pas assez de culot pour... vivre.
D'abord moi je croyais que la communication c'était pas des mots. Je croyais que les gens me comprenais, trop fainéante pour expliquer comment je vais, trop égoïste pour savoir  ce que les autres en pense. J'étais pas au courant. Je sais pas. Je sais pas faire, je sais pas quoi dire, je ne sais que sourire. Et qu'est ce que ça peu foutre si ce que j'écris est moche, si on ne reste pas dix minutes le regard vitreux devant ma prose, je m'emmerde (du verbe s'emmerder soi-même). Tout ce que j'espérais c'était une vie heureuse (sortez vos mouchoirs), mais pour être aimé il faut une raison, sisi.

Tuning, fun radio, ballerines, barrette, football, RnB, bruit, bande de copains, Coralie, Chagny, Dijon, les cons, mobylette, Charles et sa langue de cendrier, Pascal Obispo, vomi, pieds, ongles, dents, connerie, Marc Lévy.


Boaf, y'aura une suite l'année prochaine.